Avant de commencer la réalisation de la balustrade, il était essentiel de consolider et de rénover le mur de soutènement en pierre. Parallèlement, la préparation et un stock de balustres devait être fait.
Pour renforcer le sommet du mur effrité, j’ai coulé sur place une sorte de couvertine.
Rien n’est d’aplomb, mais un chaînage ajouté par dessus viendra parfaire la mise à niveau. Du côté de la terrasse, une fine couche de terre viendra rapidement recouvrir le travail, tandis que les bords du mur, seront moins visible derrière la balustrade. Cela n’exige pas une finition parfaite.
Cette couche de protection est renforcée avec des fers de diamètre 8 mm et des morceaux de grillage.
Un chaînage final est ensuite ajouté, solidement armé de fer de bout en bout, afin de supporter la balustrade. Peu importe ce qui arrive, même si une partie du vieux mur venait à céder, les balustres seront protégées. Mon objectif est d’assurer une structure solide et durable.
La hauteur du chaînage a été soigneusement calculée pour qu’après avoir posé une rangée de parpaings, la main courante se retrouve à la hauteur idéale.
Enfin, pour favoriser l’écoulement de l’eau de pluie, des tuyaux en PVC de diamètre 27 mm sont disposés en bas du coffrage, à environ un mètre d’intervalle, permettant ainsi à l’eau de s’évacuer efficacement de la terrasse.
Le coffrage du chaînage inclut l’emplacement des futurs piliers ainsi que leur ferraillage.
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